Enfin lu ton manga, en pleine écran et avec ses dialogues. On sent que chaque planche a bénéficié d'un soin maniaque dans la finition : poses, costumes, expressivité de la couleur, tandis que les paysages sont impressionnants de mise en valeur. Le scenar est très 1er degré et m'apparaît comme un hommage direct à un certain classicisme du cinéma asiatique (presque plus hongkongais que japonais d'ailleurs). Le plus fort c'est sans doute le découpage qui est très très sophistiqué mais se révèle à la lecture parfaitement fluide, la preuve étant ta parfaite gestion des actions parallèles (le combat à l'extérieur et ce qui se passe dans la grotte).
C'est vrai l'histoire est un peu juste. Ce scénario avait le mérite d'être prêt au moment où je devais absolument me remettre à faire des planches sous peine de rester en boule sous mon bureau rongé par le doute. J'avoue que cette histoire fut un prétexte à la mise en scène et au dessin. Et ce que tu dis est intéressant sur le ciné, parce que j'ai beaucoup regardé un film de Lo Wei durant réalisation de Ookami qui s'appelle L'ombre du fouet (de 1971, je crois).
J'espère que le prochain va te plaire également, graphiquement, cela risque d'être autre chose.
3 commentaires:
Enfin lu ton manga, en pleine écran et avec ses dialogues. On sent que chaque planche a bénéficié d'un soin maniaque dans la finition : poses, costumes, expressivité de la couleur, tandis que les paysages sont impressionnants de mise en valeur. Le scenar est très 1er degré et m'apparaît comme un hommage direct à un certain classicisme du cinéma asiatique (presque plus hongkongais que japonais d'ailleurs). Le plus fort c'est sans doute le découpage qui est très très sophistiqué mais se révèle à la lecture parfaitement fluide, la preuve étant ta parfaite gestion des actions parallèles (le combat à l'extérieur et ce qui se passe dans la grotte).
Chapeau bas pour tout ce boulot.
E.
Merci pour ton gentil commentaire.
C'est vrai l'histoire est un peu juste. Ce scénario avait le mérite d'être prêt au moment où je devais absolument me remettre à faire des planches sous peine de rester en boule sous mon bureau rongé par le doute. J'avoue que cette histoire fut un prétexte à la mise en scène et au dessin. Et ce que tu dis est intéressant sur le ciné, parce que j'ai beaucoup regardé un film de Lo Wei durant réalisation de Ookami qui s'appelle L'ombre du fouet (de 1971, je crois).
J'espère que le prochain va te plaire également, graphiquement, cela risque d'être autre chose.
Je suivrai ça ! ;)
E.
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